Enquête épidémiologique sur le syndrome de la vache couchée dans la région de Tébessa

Abstract

The lying cow syndrome is very common in Algeria, particularly in the Eastern Wilayas, it constitutes a major obstacle for the development of cattle breeding. The present study has a component for its part applies to carry out a survey in the form of a questionnaire distributed on the practicing veterinarians of the region of Tebessa. The results showed that the lying cow syndrome is more common in hypocalcemia form with a rate of 66% is very common in closed farms with 100%, adults more affected with a rate of 74.35%. The main symptoms that are widespread, sternal recumbency. Regarding the diagnosis of certainty, 90% of veterinarians do not use additional examinations. إن متالزمة البقرة المستلقية منتشرة بكثرة في الجزائر، وال سيما في الواليات الشرقية، فهي تشكل عقبة كبيرة أمام تطور تربية الماشية. تتضمن الدراسة الحالية ا ً عنصر ينطبق من جانبها على إجراء مسح في شكل استبيان يتم توزيعه على األطباء البيطريين الممارسين في منطقة تبسة. ً في شكل نقص كالسيوم الدم بنسبة ٪66 وأظهرت النتائج أن متالزمة البقرة المستلقية أكثر شيوعا ًر بنسبة .٪74.35 ً في المزارع المغلقة بنسبة ٪100 والبالغون أكثر تأث ا وهي شائعة جدا األعراض الرئيسية التي تنتشر على نطاق واسع هي االستلقاء. فيما يتعلق بالفحص التكميلي، ال يستخدم ٪90 من األطباء البيطريين فحوصات إضافية. Le syndrome de la vache couchée, est très répondu en Algérie tout particulièrement dans les Wilayas de l’Est, elle constitue une entrave majeure pour le développement des élevages bovins. La présente étude porte un volet quant à lui s’applique à effectuer une enquête sous forme de questionnaire distribué aux vétérinaires praticiens de la région de Tébessa. Les résultats ont montré que le syndrome de la vache couchée est plus fréquent sous forme d’hypocalcémie avec un taux de 66% est très fréquente au niveau des élevages fermés avec un taux de 100%, les adultes sont les plus touchés soit un taux de 74,35%. Le principal symptôme qui est très répandue est le décubitus sternal. En ce qui concerne le diagnostic de certitude, 90 % des vétérinaires n’utilisent pas les examens complémentaires